Resume L' Homme du peuple est un ouvrier de Saverne, Jean-Pierre Clavel, orphelin eleve par une brave marchande des quatre saisons, la mere Balais, pauvre mais genereuse, qui a fait de lui un bon artisan et l'a envoye a Paris pour se perfectionner dans son etat de menuisier. A Paris, Jean-Pierre se loge dans le quartier des Ecoles, ou il retrouve Emmanuel, un de ses anciens camarades, etudiant en droit, qui lui fait decouvrir la capitale. Il est embauche dans l'atelier de menuiserie Braconneau dont le principal ouvrier, le pere Perrignon, lui fait petit a petit partager ses idees...
Resume L' Homme du peuple est un ouvrier de Saverne, Jean-Pierre Clavel, orphelin eleve par une brave marchande des quatre saisons, la mere Balais, pa...
Erckmann-Chatrian est le pseudonyme collectif utilise de 1847 a 1887 par deux ecrivains francais: Emile Erckmann (ne le 21 mai 1822 a Phalsbourg, en Meurthe (devenue Moselle en 1918), mort le 14 mars 1899 a Luneville) et Alexandre Chatrian (ne le 18 decembre 1826 a Soldatenthal (Grand Soldat), Meurthe (devenue Moselle en 1918), et mort le 3 septembre 1890 a Villemomble). Ils ont egalement ecrit sous leurs patronymes respectifs.
Erckmann-Chatrian est le pseudonyme collectif utilise de 1847 a 1887 par deux ecrivains francais: Emile Erckmann (ne le 21 mai 1822 a Phalsbourg, en M...
Pendant la messe de minuit de l'an 1847, a Phalsbourg, le petit greffier de la justice de paix, Conrad Spitz et moi, nous vidions notre troisieme bol de punch au cafe Schweitzer, pres de la porte d'Allemagne. Tout le monde etait a l'eglise. La veuve Schweitzer, avant de partir, avait eteint les quinquets; la chandelle, placee entre Spitz et moi, eclairait vaguement un angle du billard, notre bol et nos verres: le reste se perdait dans l'ombre.
Pendant la messe de minuit de l'an 1847, a Phalsbourg, le petit greffier de la justice de paix, Conrad Spitz et moi, nous vidions notre troisieme bol ...
J'ai connu dans le temps, a Mayence, un honnete pharmacien nomme Hans Schnaps. La porte de son officine s'ouvrait sur le Thiermack; elle etait surmontee d'une guivre en guise d'enseigne; le caducee de Mercure et le serpentaire d'Esculape en ornaient les panneaux. Quant a Hans Schnaps, au lieu de rester dans sa boutique, il se promenait dans les rues, une grande lunette sous le bras, et laissait le soin de ses drogues a deux garcons apothicaires.
J'ai connu dans le temps, a Mayence, un honnete pharmacien nomme Hans Schnaps. La porte de son officine s'ouvrait sur le Thiermack; elle etait surmont...
Fritz Kobus, bon vivant, heritier de son pere juge de paix, decide de vivre sans travailler ni se marier afin de profiter de la vie, du bon vin, de la bonne chere, des amis a la brasserie du Grand-Cerf. Fidele a sa philosophie pendant 15 ans, malgre les pressions du meilleur ami de son pere, le rabbin David (rebbe), qui lui presente regulierement les plus jolies veuves. Comme chaque annee, au premier jour du printemps, le bohemien Iosef vient jouer du violon sous sa fenetre, en remerciement d'un jour de Noel ou Fritz le sauva du wachtmann Foux. Il l'invita a diner, ainsi que plusieurs de ses...
Fritz Kobus, bon vivant, heritier de son pere juge de paix, decide de vivre sans travailler ni se marier afin de profiter de la vie, du bon vin, de la...
Le roman est une fresque villageoise populiste et partisane. En 1814, les Allies battent Napoleon et penetrent en France, notamment en passant le Rhin. La resistance a l'oppresseur s'organise dans les Vosges, ou les armees ont plus de mal a passer. Et, de fait, cette resistance obtient quelques succes. Composes de villageois farouches, de brigands et de braconniers, assez organises et patriotiques pour pouvoir mener des actions (peu couteuses en hommes), ces groupes armes posent quelques problemes aux envahisseurs. Mais la trahison du Fou Yegof menera la resistance a sa perte.
Le roman est une fresque villageoise populiste et partisane. En 1814, les Allies battent Napoleon et penetrent en France, notamment en passant le Rhin...
M. Florence est instituteur dans le petit hameau des Chaumes. Dans ce village vivent les freres Rantzau, les deux plus riches proprietaires de la region, qui se detestent et se jalousent mutuellement. Tout le village subit cet affrontement entre les deux hommes, qui inculquent cette animosite a leurs enfants. Seuls M. Florence, ainsi que M. Jannequin, le cure, essaient tant bien que mal de se maintenir entre les deux camps et de les reconcilier...
M. Florence est instituteur dans le petit hameau des Chaumes. Dans ce village vivent les freres Rantzau, les deux plus riches proprietaires de la regi...
Erckmann-Chatrian est le pseudonyme collectif utilise de 1847 a 1887 par deux ecrivains francais: Emile Erckmann (ne le 21 mai 1822 a Phalsbourg, en Meurthe (devenue Moselle en 1918), mort le 14 mars 1899 a Luneville) et Alexandre Chatrian (ne le 18 decembre 1826 a Soldatenthal (Grand Soldat), Meurthe (devenue Moselle en 1918), et mort le 3 septembre 1890 a Villemomble). Ils ont egalement ecrit sous leurs patronymes respectifs.
Erckmann-Chatrian est le pseudonyme collectif utilise de 1847 a 1887 par deux ecrivains francais: Emile Erckmann (ne le 21 mai 1822 a Phalsbourg, en M...
Il etait jeune, un peu frele, un peu boiteux, il aimait sa cousine Catherine, ils devaient se marier... Mais Napoleon avait decide de conquerir le monde. Et c'est par les yeux de Joseph Bertha, le jeune conscrit de 1813, que nous decouvrons la face cachee, humaine et souffrante, de l'epopee napoleonienne.
Il etait jeune, un peu frele, un peu boiteux, il aimait sa cousine Catherine, ils devaient se marier... Mais Napoleon avait decide de conquerir le mon...
Pour ceux qui ont aime, voici la suite des aventures de Joseph Bertha, le conscrit de 1813. De retour de la guerre, Joseph peut esperer une vie paisible aupres des siens. Mais ce bonheur pourrait bien n'etre que de courte duree. Le retour des nobles et de Louis XVIII est loin de plaire a tous... et Napoleon n'est pas tres loin...
Pour ceux qui ont aime, voici la suite des aventures de Joseph Bertha, le conscrit de 1813. De retour de la guerre, Joseph peut esperer une vie paisib...