ISBN-13: 9786131598845 / Francuski / Miękka / 2018 / 480 str.
La prA(c)sente recherche examine les modes de contrAle de gestion dans les petites et moyennes entreprises (PME) camerounaises. GA(c)nA(c)ralement apprA(c)hendA(c) comme un processus d'allocation des ressources, le contrAle de gestion est au centre des actes de gestion. La littA(c)rature recense plusieurs modes de contrAle: contrAle bureaucratique, contrAle clanique, contrAle rituel, contrAle des rA(c)sultats, contrAle des actions, contrAle du comportement, etc.). Le processus du contrAle varie d'une entreprise A l'autre et aboutit A la mesure de la performance. La performance du systA]me de contrAle peut Aatre mesurA(c)e par des indicateurs financiers ou non financiers. La rentabilitA(c) A(c)conomique ou ROI apparaA(R)t comme l'indicateur le plus utilisA(c) pour mesurer la performance en contrAle de gestion. Les rA(c)sultats montrent que les modes de contrAle varient non seulement d'une entreprise A l'autre, mais d'un secteur A l'autre. Cette disparitA(c) s'explique par: la taille, la forme juridique, le climat social ambiant, le degrA(c) de formalisation, le profil du contrAleur.
La présente recherche examine les modes de contrôle de gestion dans les petites et moyennes entreprises (PME) camerounaises. Généralement appréhendé comme un processus dallocation des ressources, le contrôle de gestion est au centre des actes de gestion. La littérature recense plusieurs modes de contrôle : contrôle bureaucratique, contrôle clanique, contrôle rituel, contrôle des résultats, contrôle des actions, contrôle du comportement, etc.). Le processus du contrôle varie dune entreprise à lautre et aboutit à la mesure de la performance. La performance du système de contrôle peut être mesurée par des indicateurs financiers ou non financiers. La rentabilité économique ou ROI apparaît comme lindicateur le plus utilisé pour mesurer la performance en contrôle de gestion. Les résultats montrent que les modes de contrôle varient non seulement dune entreprise à lautre, mais dun secteur à lautre. Cette disparité sexplique par : la taille, la forme juridique, le climat social ambiant, le degré de formalisation, le profil du contrôleur.