Manuel García capte la fièvre des vestiaires, la mélancolie après le match, l'orgueil blessé d'un homme qui découvre sa propre vulnérabilité. Ici, la passion se mesure à la vitesse du pouls, la découverte tient dans une seconde de trop entre deux douches brûlantes, et le regard apprend à ne plus baisser les armes. Dans Le joueur, tous les personnages sont majeurs et l'arène est universitaire : « Vas-y... tire... non, à moi ! » hurle Johnny avant de disparaître sous l'eau, torse tatoué, nuque battante. De l'autre côté d'une cloison qui laisse passer la lumière, un oeil...
Manuel García capte la fièvre des vestiaires, la mélancolie après le match, l'orgueil blessé d'un homme qui découvre sa propre vulnérabilité. ...
Ici, les hommes sont des saisons : brusques, tendres, violents et beaux. Manuel García raconte l'instant où l'on choisit de ne plus détourner les yeux : l'aveu se cache dans un rire, la passion dans un défi. Les récits disent la découverte, le regard posé malgré la peur, la fragilité du coeur pris au piège de ses propres serments. Dans Mon beau-frère et mon ami coquin, la nuit s'enflamme autour d'une fête où l'alcool parle trop fort. Lui, arrogant, tatoué, torse à l'air, « une casquette baissée, un sourire de voyou », et l'ami complice qui attend « au coin de la rue...
Ici, les hommes sont des saisons : brusques, tendres, violents et beaux. Manuel García raconte l'instant où l'on choisit de ne plus détourner les y...
Ici, les hommes sont des saisons : brusques, tendres, violents et beaux. Manuel García raconte l'instant où l'on choisit de ne plus détourner les yeux : l'aveu se cache dans un rire, la passion dans un défi. Les récits disent la découverte, le regard posé malgré la peur, la fragilité du coeur pris au piège de ses propres serments. Dans Mon beau-frère et mon ami coquin, la nuit s'enflamme autour d'une fête où l'alcool parle trop fort. Lui, arrogant, tatoué, torse à l'air, « une casquette baissée, un sourire de voyou », et l'ami complice qui attend « au coin de la rue...
Ici, les hommes sont des saisons : brusques, tendres, violents et beaux. Manuel García raconte l'instant où l'on choisit de ne plus détourner les y...
Manuel García capte la fièvre des vestiaires, la mélancolie après le match, l'orgueil blessé d'un homme qui découvre sa propre vulnérabilité. Ici, la passion se mesure à la vitesse du pouls, la découverte tient dans une seconde de trop entre deux douches brûlantes, et le regard apprend à ne plus baisser les armes. Dans Le joueur, tous les personnages sont majeurs et l'arène est universitaire : « Vas-y... tire... non, à moi ! » hurle Johnny avant de disparaître sous l'eau, torse tatoué, nuque battante. De l'autre côté d'une cloison qui laisse passer la lumière, un oeil...
Manuel García capte la fièvre des vestiaires, la mélancolie après le match, l'orgueil blessé d'un homme qui découvre sa propre vulnérabilité. ...
In questa raccolta, Manuel García racconta uomini veri: maschi ruvidi, spigolosi, sudati di vita quotidiana. Uomini che stringono i denti, che parlano poco, ma che dicono tutto con uno sguardo troppo lungo, un gesto sfuggente, una vicinanza che non lascia scampo. È un erotismo che nasce dallo scontro e dalla sfida: corpi che si avvicinano per sbaglio e non riescono più a separarsi. Storie virili, dirette, dove il desiderio non chiede permesso.Il racconto che dà il titolo al libro esplode in una notte qualsiasi, tra musica alta, vicini infuriati e un cognato bello come un problema....
In questa raccolta, Manuel García racconta uomini veri: maschi ruvidi, spigolosi, sudati di vita quotidiana. Uomini che stringono i denti, che parlan...
In questa raccolta, Manuel García racconta uomini veri: maschi ruvidi, spigolosi, sudati di vita quotidiana. Uomini che stringono i denti, che parlano poco, ma che dicono tutto con uno sguardo troppo lungo, un gesto sfuggente, una vicinanza che non lascia scampo. È un erotismo che nasce dallo scontro e dalla sfida: corpi che si avvicinano per sbaglio e non riescono più a separarsi. Storie virili, dirette, dove il desiderio non chiede permesso.Il racconto che dà il titolo al libro esplode in una notte qualsiasi, tra musica alta, vicini infuriati e un cognato bello come un problema....
In questa raccolta, Manuel García racconta uomini veri: maschi ruvidi, spigolosi, sudati di vita quotidiana. Uomini che stringono i denti, che parlan...
Dans ces pages, Manuel García écoute les maisons respirer : la pluie au toit, les matelas trop proches, le parfum des corps endormis. Ses récits racontent la découverte et la passion avec une tendresse lucide, là où la fragilité n'est pas faiblesse mais événement. Dans Partager la chambre avec son beau-frère, l'orage force la promiscuité, la nuit devient aveu. « Il a entrouvert le rideau, t-shirt mouillé, tattoo bleuté, et la pièce a changé de température. » Deux respirations se répondent dans l'obscurité, un genou effleure, la raison recule d'un pas. Le matin dira qu'il...
Dans ces pages, Manuel García écoute les maisons respirer : la pluie au toit, les matelas trop proches, le parfum des corps endormis. Ses récits ra...
These stories are forged in the heat of real life-nights that smell of sweat, gasoline, beer, and men who pretend not to feel anything. Manuel García writes about virile men with rough hands and guarded eyes, the kind who say little but reveal everything in the way they stand, breathe, or lean too close. Here, desire rises from friction: a shove, a challenge, a look held one second too long. This is masculine, carnal eroticism-raw, unsentimental, undeniable.The title story unfolds during one of Guilherme's chaotic parties, where music shakes the walls and tempers flare faster than the beer...
These stories are forged in the heat of real life-nights that smell of sweat, gasoline, beer, and men who pretend not to feel anything. Manuel García...
Mit literarischer Intensität erzählt Manuel García von Männern, die zwischen Dunkelheit und Verlangen ihren Weg finden. Es sind Geschichten über die Schattenseiten des Lebens, über Flucht, Schmerz, aber auch über jene heimlichen Funken, die selbst in der Nacht nicht verlöschen. Körper begegnen sich hier nicht nur aus Lust, sondern aus Notwendigkeit - aus Hunger nach Wärme, nach Zärtlichkeit, nach einem Ort, an dem man endlich weich werden darf.In der Titelgeschichte entsteht aus einer düsteren Familiengeschichte jene scharfe Linie, an der Gewalt endet und Befreiung beginnt. Der...
Mit literarischer Intensität erzählt Manuel García von Männern, die zwischen Dunkelheit und Verlangen ihren Weg finden. Es sind Geschichten über ...
Mit literarischer Intensität erzählt Manuel García von Männern, die zwischen Dunkelheit und Verlangen ihren Weg finden. Es sind Geschichten über die Schattenseiten des Lebens, über Flucht, Schmerz, aber auch über jene heimlichen Funken, die selbst in der Nacht nicht verlöschen. Körper begegnen sich hier nicht nur aus Lust, sondern aus Notwendigkeit - aus Hunger nach Wärme, nach Zärtlichkeit, nach einem Ort, an dem man endlich weich werden darf.In der Titelgeschichte entsteht aus einer düsteren Familiengeschichte jene scharfe Linie, an der Gewalt endet und Befreiung beginnt. Der...
Mit literarischer Intensität erzählt Manuel García von Männern, die zwischen Dunkelheit und Verlangen ihren Weg finden. Es sind Geschichten über ...