ISBN-13: 9786131567834 / Francuski / Miękka / 2018 / 108 str.
Cette A(c)tude rA(c)trospective monocentrique des 39 patients (20 femmes, 19 hommes) traitA(c)s par fluorouracile-A(c)piadriamycine-dacarbazine A l''HApital E. Herriot entre 2000 et 2007, porteurs de tumeurs endocrines pancrA(c)atique (16), intestinale (12) ou d''autres localisations (11), montre un taux de rA(c)ponse objective global de 46% avec une durA(c)e mA(c)diane de rA(c)ponse de 9 mois. Le taux de rA(c)ponse objective dans les tumeurs pancrA(c)atiques est de 62 %, supA(c)rieur au taux de rA(c)ponse obtenu pour les tumeurs intestinales de 25%. Les toxicitA(c)s sont essentiellement une hA(c)matotoxicitA(c) grade 3 et 4 chez 36% des patients, suggA(c)rant la nA(c)cessitA(c) d''une rA(c)duction de doses lors de la premiA]re cure et l''utilisation de facteurs de croissance et une cardiotoxicitA(c) chez 7% des patients, conduisant A la prescription prA(c)ventive de dexrazoxane chez les patients non progressifs. Les rA(c)sultats obtenus dans notre centre confirment donc l''intA(c)rAat de cette triple association avec des taux de rA(c)ponse se comparant favorablement aux autres polychimiothA(c)rapies, sans nA(c)phrotoxicitA(c), permettant l''utilisation ultA(c)rieure d''autres chimiothA(c)rapies, de thA(c)rapies ciblA(c)es ou de la radiothA(c)rapie mA(c)tabolique.
Cette étude rétrospective monocentrique des 39 patients (20 femmes, 19 hommes) traités par fluorouracile-épiadriamycine-dacarbazine à lHôpital E. Herriot entre 2000 et 2007, porteurs de tumeurs endocrines pancréatique (16), intestinale (12) ou dautres localisations (11), montre un taux de réponse objective global de 46% avec une durée médiane de réponse de 9 mois. Le taux de réponse objective dans les tumeurs pancréatiques est de 62 %, supérieur au taux de réponse obtenu pour les tumeurs intestinales de 25%. Les toxicités sont essentiellement une hématotoxicité grade 3 et 4 chez 36% des patients, suggérant la nécessité dune réduction de doses lors de la première cure et lutilisation de facteurs de croissance et une cardiotoxicité chez 7% des patients, conduisant à la prescription préventive de dexrazoxane chez les patients non progressifs. Les résultats obtenus dans notre centre confirment donc lintérêt de cette triple association avec des taux de réponse se comparant favorablement aux autres polychimiothérapies, sans néphrotoxicité, permettant lutilisation ultérieure dautres chimiothérapies, de thérapies ciblées ou de la radiothérapie métabolique.