ISBN-13: 9783841795052 / Francuski / Miękka / 2018 / 112 str.
Le Mali est le 3A]me pays africain A avoir rendu gratuit l'accA]s aux traitements ARV et le suivi biologique de l'infection VIH en Juillet 2004. Vu la diversitA(c) gA(c)nA(c)tique du VIH-1, vu les phA(c)nomA]nes d'inobservance et de rA(c)sistance, des A(c)checs virologiques A(c)taient A prA(c)voir. D'oA l'objectif principal de cette A(c)tude de dA(c)terminer la prA(c)valence des A(c)checs virologiques chez 404 patients d'au moins un an de traitement antirA(c)troviral infectA(c)s par le VIH-1. Les charges virales ont A(c)tA(c) rA(c)alisA(c)es sur le m2000rt d'Abbott. Ces patients provenaient de huit sites de prise en charge A Bamako et de trois sites rA(c)gionaux. Nos rA(c)sultats ont montrA(c) que la prA(c)valence des A(c)checs virologiques A(c)tait de 24,1% A 1 an, 25,0% A 2 ans, 33,3% A 3 ans, et de 36,0% A plus de 3 ans. La frA(c)quence de charge virale indA(c)tectable A(c)tait de 61,0% A un 1, 60,7% A 2 ans, 54,0% A 3 ans et de 52,1% A plus de 3 ans. Nos rA(c)sultats montrent la nA(c)cessitA(c) de renforcer l'adhA(c)sion et la continuitA(c) des traitements ARV afin d'A(c)viter la frA(c)quence croissante des A(c)checs virologiques.
Le Mali est le 3ème pays africain à avoir rendu gratuit laccès aux traitements ARV et le suivi biologique de linfection VIH en Juillet 2004. Vu la diversité génétique du VIH-1, vu les phénomènes dinobservance et de résistance, des échecs virologiques étaient à prévoir. Doù lobjectif principal de cette étude de déterminer la prévalence des échecs virologiques chez 404 patients dau moins un an de traitement antirétroviral infectés par le VIH-1. Les charges virales ont été réalisées sur le m2000rt dAbbott. Ces patients provenaient de huit sites de prise en charge à Bamako et de trois sites régionaux. Nos résultats ont montré que la prévalence des échecs virologiques était de 24,1% à 1 an, 25,0% à 2 ans, 33,3% à 3 ans, et de 36,0% à plus de 3 ans. La fréquence de charge virale indétectable était de 61,0% à un 1, 60,7% à 2 ans, 54,0% à 3 ans et de 52,1% à plus de 3 ans. Nos résultats montrent la nécessité de renforcer ladhésion et la continuité des traitements ARV afin déviter la fréquence croissante des échecs virologiques.