ISBN-13: 9783838171395 / Francuski / Miękka / 2018 / 68 str.
La retraite de Russie est l'un des moments les plus effroyables des guerres du Premier Empire. Drame humain occupant une place importante dans la mA(c)moire collective, la dA(c)bA cle de Russie A(c)branle les bases de l'Empire franAais. En juin 1812, la Grande ArmA(c)e comprend 680'000 soldats et 580'000 d'entre eux franchissent le NiA(c)men, fleuve faisant office de frontiA]re entre le Grand duchA(c) de Varsovie et la Russie. Six mois plus tard, seuls 50'000 hommes ont la chance de traverser A nouveau le NiA(c)men. Jomini est l'un de ceux-lA . Cette campagne est racontA(c)e dans ses Souvenirs inA(c)dits publiA(c)s A l'occasion du bicentenaire de la retraite de Russie. NommA(c) gouverneur de Vilnius parce qu'il ne veut pas prendre les armes contre le tsar, qui l'avait accueilli au sein de son A(c)tat-major, Jomini redoute une dA(c)faite de la Grande ArmA(c)e. Il envoie son aide de camp A la recherche d'un guA(c) sur la BA(c)rA(c)zina, dont il communique l'emplacement A NapolA(c)on. Surveillant la construction des ponts, Antoine-Henri Jomini souffre d'une forte bronchite accompagnA(c)e de fiA]vre. DA(c)lirant, il est abandonnA(c) A trois reprises, alors que les soldats russes sont A chaque fois sur le point de le capturer...
La retraite de Russie est lun des moments les plus effroyables des guerres du Premier Empire. Drame humain occupant une place importante dans la mémoire collective, la débâcle de Russie ébranle les bases de lEmpire français. En juin 1812, la Grande Armée comprend 680000 soldats et 580000 dentre eux franchissent le Niémen, fleuve faisant office de frontière entre le Grand duché de Varsovie et la Russie. Six mois plus tard, seuls 50000 hommes ont la chance de traverser à nouveau le Niémen. Jomini est lun de ceux-là. Cette campagne est racontée dans ses "Souvenirs" inédits publiés à loccasion du bicentenaire de la retraite de Russie. Nommé gouverneur de Vilnius parce quil ne veut pas prendre les armes contre le tsar, qui lavait accueilli au sein de son état-major, Jomini redoute une défaite de la Grande Armée. Il envoie son aide de camp à la recherche dun gué sur la Bérézina, dont il communique lemplacement à Napoléon. Surveillant la construction des ponts, Antoine-Henri Jomini souffre dune forte bronchite accompagnée de fièvre. Délirant, il est abandonné à trois reprises, alors que les soldats russes sont à chaque fois sur le point de le capturer...