ISBN-13: 9786131532993 / Francuski / Miękka / 2018 / 228 str.
Cette thA]se est consacrA(c)e A la perception visuelle des mouvements humains. L''objectif est de tester l''existence de liaisons fonctionnelles entre la perception et la motricitA(c) en utilisant des donnA(c)es issues de l''imagerie cA(c)rA(c)brale, de l''A(c)tude de cas clinique (maladie de Parkinson) et de sujets adultes ou d''enfants. La tomographie par A(c)mission de positon, est utilisA(c)e pour rA(c)vA(c)ler les rA(c)seaux neuronaux activA(c)s lors de la perception visuelle des mouvements d''A(c)criture et de pointage. La perception de ces deux catA(c)gories de mouvements active des structures impliquA(c)es dans la planification et l''exA(c)cution de ces gestes. Pour prA(c)ciser le rAle de ces liens entre perception et motricitA(c) nous nous sommes intA(c)ressA(c)s au phA(c)nomA]ne de prA(c)fA(c)rence perceptive pour la vitesse. AprA]s avoir dA(c)montrA(c) et analysA(c) en dA(c)tail ce phA(c)nomA]ne, nous avons A(c)tudiA(c) la faAon dont ces prA(c)fA(c)rences sont modulA(c)es par la reprA(c)sentation que le sujet a du mouvement, la longueur de la trajectoire, le type de mouvement, le niveau de dA(c)veloppement moteur et l''A(c)tat du systA]me moteur des sujets. Cet ensemble de donnA(c)es indique que nous jugeons les mouvements A l''aulne de notre propre motricitA(c).
Cette thèse est consacrée à la perception visuelle des mouvements humains. Lobjectif est de tester lexistence de liaisons fonctionnelles entre la perception et la motricité en utilisant des données issues de limagerie cérébrale, de létude de cas clinique (maladie de Parkinson) et de sujets adultes ou denfants. La tomographie par émission de positon, est utilisée pour révéler les réseaux neuronaux activés lors de la perception visuelle des mouvements décriture et de pointage. La perception de ces deux catégories de mouvements active des structures impliquées dans la planification et lexécution de ces gestes. Pour préciser le rôle de ces liens entre perception et motricité nous nous sommes intéressés au phénomène de préférence perceptive pour la vitesse. Après avoir démontré et analysé en détail ce phénomène, nous avons étudié la façon dont ces préférences sont modulées par la représentation que le sujet a du mouvement, la longueur de la trajectoire, le type de mouvement, le niveau de développement moteur et létat du système moteur des sujets. Cet ensemble de données indique que nous jugeons les mouvements à laulne de notre propre motricité.