ISBN-13: 9786131528583 / Francuski / Miękka / 2018 / 140 str.
ISBN-13: 9786131528583 / Francuski / Miękka / 2018 / 140 str.
L''ostA(c)onA(c)crose de la tAate fA(c)morale (ON) se caractA(c)rise par une nA(c)crose ostA(c)omA(c)dullaire conduisant au collapsus et A la destruction articulaire. La physiopathogA(c)nie reste mal connue. Les hypothA]ses vasculaires ne permettent pas d''expliquer l''ensemble du tableau, de l''apparition de la lA(c)sion A sa progression vers la fracture. Certains travaux montrent que l''ON pourrait Aatre liA(c)e A des anomalies des cellules souches ou de la lignA(c)e ostA(c)oblastique. Sur la base de ces A(c)lA(c)ments, nous avons A(c)mis l''hypothA]se que l''ostA(c)oblaste pouvait jouer un rAle dans l''ON de la tAate fA(c)morale et avons montrA(c) qu''il existait une anomalie de la prolifA(c)ration ostA(c)oblastique. L''ON est une affection pour laquelle aucun traitement n''a pu montrer une efficacitA(c) claire sur la progression vers le stade de la fracture. Partant de l''hypothA]se selon laquelle il y aurait dans l''ON une anomalie au niveau des cellules de la lignA(c)e ostA(c)oblastique et que les cellules souches auraient un rAle important dans la rA(c)paration tissulaire, nous avons A(c)tudiA(c) le traitement par thA(c)rapie cellulaire. Cette A(c)tude a montrA(c) que la thA(c)rapie cellulaire ralentit la progression progression de l''ON.
Lostéonécrose de la tête fémorale (ON) se caractérise par une nécrose ostéomédullaire conduisant au collapsus et à la destruction articulaire. La physiopathogénie reste mal connue. Les hypothèses vasculaires ne permettent pas dexpliquer lensemble du tableau, de lapparition de la lésion à sa progression vers la fracture. Certains travaux montrent que lON pourrait être liée à des anomalies des cellules souches ou de la lignée ostéoblastique. Sur la base de ces éléments, nous avons émis lhypothèse que lostéoblaste pouvait jouer un rôle dans lON de la tête fémorale et avons montré quil existait une anomalie de la prolifération ostéoblastique. LON est une affection pour laquelle aucun traitement na pu montrer une efficacité claire sur la progression vers le stade de la fracture. Partant de lhypothèse selon laquelle il y aurait dans lON une anomalie au niveau des cellules de la lignée ostéoblastique et que les cellules souches auraient un rôle important dans la réparation tissulaire, nous avons étudié le traitement par thérapie cellulaire. Cette étude a montré que la thérapie cellulaire ralentit la progression progression de lON.