ISBN-13: 9781523856121 / Francuski / Miękka / 2016 / 490 str.
ISBN-13: 9781523856121 / Francuski / Miękka / 2016 / 490 str.
Resume: Jeanne Poisson, devenue madame d'Etioles se retrouve prisonniere du mysterieux M. Jacques et du comte du Barry. Juliette Becu, fausse comtesse du Barry mais vraie prostituee, devient grace a un subterfuge, la maitresse en titre du roi. Sa presentation a la cour est imminente. Louis XV est par ailleurs convaincu que Jeanne Poisson a un amant: le chevalier d'Assas. Et, il le fait tour a tour embastiller puis gracier, et de nouveau empr... Michel Zevaco, ne a Ajaccio le 1er fevrier 1860 et mort a Eaubonne (Seine-et-Oise) le 8 aout 1918, est un journaliste anarchiste et ecrivain francais, auteur de romans populaires, notamment de la serie de cape et d'epee Les Pardaillan. C'est l'oncle du peintre Xavier Zevaco. 1886-1900: le journaliste engage Attire par les lettres et la politique, Michel Zevaco devient journaliste, puis secretaire de redaction a L'Egalite que dirige alors le socialiste revolutionnaire Jules Roques. Il se presente sans succes aux elections legislatives de 1889 pour la Ligue socialiste de Roques. A cette epoque, il rencontre Louise Michel, Aristide Bruant, Severine, Sebastien Faure, Emile Pouget, Charles Malato, Emmanuel Chauviere, etc. En raison de la virulence de ses propos, en pleine periode d'attentats anarchistes, Michel Zevaco est condamne a plusieurs sejours a la prison Sainte-Pelagie. Par exemple, en 1890, il est arrete en avril pour provocation au meurtre en raison d'un editorial visant le ministre de l'Interieur Ernest Constans, et condamne a quatre mois de prison. Libere fin aout, il est a nouveau arrete, toujours pour provocation au meurtre, a la suite d'un editorial de L'Egalite ou il incitait les soldats a faire justice eux-memes aupres de leurs officiers. Il est egalement condamne le 6 octobre 1892 par la cour d'assise de la Seine pour avoir declare dans une reunion publique a Paris: Les bourgeois nous tuent par la faim; volons, tuons, dynamitons, tous les moyens sont bons pour nous debarrasser de cette pourriture. Durant ses sejours en prison, il se liera d'amitie avec le marquis de Mores, dont il partagera rapidement les opinions antisemites. Pourtant, en 1898, lors de l'affaire Dreyfus, alors que Bernard Lazare remet en cause la culpabilite du condamne, Zevaco s'engage dans la cause dreyfusarde, denoncant dans l'une de ses dernieres publications politiques le complot des jesuites contre Dreyfus et les juifs."