ISBN-13: 9783841743404 / Francuski / Miękka / 2018 / 180 str.
La cellule microgliale est la principale responsable de la neuroinflammation. Sa production de facteurs inflammatoires provoque un A(c)tat de stress oxydant chez les cellules environnantes. Ces phA(c)nomA]nes reprA(c)sentent des causes suspectA(c)es d'Aatre impliquA(c)es dans la maladie de Parkinson. Le but de ce projet de maA(R)trise A(c)tait d'abord de comparer le potentiel inflammatoire du 1-mA(c)thyl-4-phA(c)nylpyridinium (MPP+), du paraquat (PQ) et du lipopolysaccharide (LPS), selon deux paramA]tres: la transcription de l'interleukine 6 par PCR et l'expression de l'enzyme iNOS par immunobuvardage, chez la cellule microgliale N9. En second lieu, le potentiel anti-inflammatoire de deux molA(c)cules naturelles, la quercA(c)tine et la sA(c)samine a A(c)tA(c) A(c)valuA(c) sur ces mAames paramA]tres. Les rA(c)sultats ont dA(c)montrA(c) une augmentation des facteurs neuroinflammatoires par chacune des trois toxines. Cette hausse a pu Aatre diminuA(c)e par les deux molA(c)cules d'intA(c)rAats. Ces molA(c)cules possA]dent donc de bonnes capacitA(c)s anti-inflammatoires. Elles sont ainsi prometteuses comme molA(c)cules A santA(c) A et pourraient constituer une intA(c)ressante approche prA(c)ventive aux maladies neurodA(c)gA(c)nA(c)ratives telle que la maladie de Parkinson.
La cellule microgliale est la principale responsable de la neuroinflammation. Sa production de facteurs inflammatoires provoque un état de stress oxydant chez les cellules environnantes. Ces phénomènes représentent des causes suspectées dêtre impliquées dans la maladie de Parkinson. Le but de ce projet de maîtrise était dabord de comparer le potentiel inflammatoire du 1-méthyl-4-phénylpyridinium (MPP+), du paraquat (PQ) et du lipopolysaccharide (LPS), selon deux paramètres : la transcription de linterleukine 6 par PCR et lexpression de lenzyme iNOS par immunobuvardage, chez la cellule microgliale N9. En second lieu, le potentiel anti-inflammatoire de deux molécules naturelles, la quercétine et la sésamine a été évalué sur ces mêmes paramètres. Les résultats ont démontré une augmentation des facteurs neuroinflammatoires par chacune des trois toxines. Cette hausse a pu être diminuée par les deux molécules dintérêts. Ces molécules possèdent donc de bonnes capacités anti-inflammatoires. Elles sont ainsi prometteuses comme molécules santé et pourraient constituer une intéressante approche préventive aux maladies neurodégénératives telle que la maladie de Parkinson.