ISBN-13: 9786131575549 / Francuski / Miękka / 2018 / 92 str.
Les ressources bibliographiques en notre disposition montrent que le theme relatif a l'energie en general, et au petrole en particulier, n'a pas ete suffisamment traite pour le cas tunisien. La majorite des travaux empiriques relatifs au petrole sont d'ordre microeconomique et dont la majorite s'interesse aux calculs des surplus des differents acteurs economiques chacun a part suite a des politiques fiscales de taxation et de subvention des differents produits petroliers. En se basant sur un modele de cycles reels et en faisant les calibrages necessaires nous avons trouve qu' un choc de 10%, que nous avons considere comme etant le scenario le plus probable et le plus realiste, l'impact serait comme suit: entre 2006 et 2008, la perte de croissance serait a l'entour de 1% alors qu'elle depasserait les 1,5% des 2013. En ce qui concerne l'IPC, l'inflation supplementaire serait probablement comprise entre 1,5% et 2% les quatre premieres annees apres le premier choc de 10%, soit entre 2006 et 2010. Elle pourrait atteindre les 2,5% en 2015 et depasser les 3% en 2017."
Les ressources bibliographiques en notre disposition montrent que le thème relatif à lénergie en général, et au pétrole en particulier, na pas été suffisamment traité pour le cas tunisien. La majorité des travaux empiriques relatifs au pétrole sont dordre microéconomique et dont la majorité sintéresse aux calculs des surplus des différents acteurs économiques chacun à part suite à des politiques fiscales de taxation et de subvention des différents produits pétroliers. En se basant sur un modèle de cycles réels et en faisant les calibrages nécessaires nous avons trouvé qu un choc de 10%, que nous avons considéré comme étant le scénario le plus probable et le plus réaliste, limpact serait comme suit: entre 2006 et 2008, la perte de croissance serait à lentour de 1% alors quelle dépasserait les 1,5% dés 2013. En ce qui concerne lIPC, linflation supplémentaire serait probablement comprise entre 1,5% et 2% les quatre premières années après le premier choc de 10%, soit entre 2006 et 2010. Elle pourrait atteindre les 2,5% en 2015 et dépasser les 3% en 2017.