ISBN-13: 9783841796905 / Francuski / Miękka / 2018 / 56 str.
L'analyse diachronique des variations spatiotemporelles du contact forAat-savane a A(c)tA(c) conduite A deux A(c)chelles au sein du parc National de Mbam et Djerem au Cameroun. L'A(c)chelle rA(c)gionale A base d'images satellite Landsat TM et ETM+ de 1986 et 2005 respectivement pour comprendre les modifications globales a A(c)tA(c) couplA(c)e l'A(c)chelle stationnelle pour des A(c)tudes botaniques plus fines. L'A(c)tude a permis d'identifier la zone dendritique complexe A Terminalia macroptera et Lophira lanceolata et la forAat de colonisation A Xylopia aethiopica comme les deux strates de l'A(c)cotone et quatre parcelles permanentes y ont A(c)tA(c) installA(c)es. L'analyse du couvert vA(c)gA(c)tal au moyen de la tA(c)lA(c)dA(c)tection a confirmA(c) la transgression de la forAat sur la savane que rapportaient Youta happi, 1998; Guillet et al.,2001; Favier et al.,2004). Cependant, au-delA des conditions climatiques et de la frA(c)quence des feux A(c)voquA(c)es comme principaux dA(c)terminants de la dynamique par l'ensemble de ces auteurs, la transgression ici est calquA(c)e sur le schA(c)ma dendritique de l'abondant rA(c)seau hydrographique du parc au rythme de 199,5 ha par an. Les savanes ainsi encloses sont inexorablement comblA(c)es par des ligneux par la suite.
Lanalyse diachronique des variations spatiotemporelles du contact forêt-savane a été conduite à deux échelles au sein du parc National de Mbam et Djerem au Cameroun. Léchelle régionale à base dimages satellite Landsat TM et ETM+ de 1986 et 2005 respectivement pour comprendre les modifications globales a été couplée léchelle stationnelle pour des études botaniques plus fines. Létude a permis didentifier la zone dendritique complexe à Terminalia macroptera et Lophira lanceolata et la forêt de colonisation à Xylopia aethiopica comme les deux strates de lécotone et quatre parcelles permanentes y ont été installées. Lanalyse du couvert végétal au moyen de la télédétection a confirmé la transgression de la forêt sur la savane que rapportaient Youta happi, 1998 ; Guillet et al.,2001 ; Favier et al.,2004). Cependant, au-delà des conditions climatiques et de la fréquence des feux évoquées comme principaux déterminants de la dynamique par lensemble de ces auteurs, la transgression ici est calquée sur le schéma dendritique de labondant réseau hydrographique du parc au rythme de 199,5 ha par an. Les savanes ainsi encloses sont inexorablement comblées par des ligneux par la suite.