ISBN-13: 9783841790071 / Francuski / Miękka / 2018 / 76 str.
Les facteurs qui affectent la consommation des lA(c)gumes dans la ville de YaoundA(c) au Cameroun, ont A(c)tA(c) A(c)valuA(c)s dans une enquAate de 300 mA(c)nages. En moyenne, les lA(c)gumes sont consommA(c)s 2 A 4 fois par semaine. La tomate, l'oignon, la carotte, et le poivron A(c)taient les lA(c)gumes exotiques les plus apprA(c)ciA(c)s tandis que le vernonia ou NdolA] (> 80%) et le gombo (> 70%) A(c)taient les lA(c)gumes traditionnels les plus prisA(c)s. Les attitudes des consommateurs changeaient selon les groupes socioculturels et les groupes socioA(c)conomiques. Les contraintes principales A la consommation des lA(c)gumes A(c)taient dans une moindre mesure le temps de prA(c)paration pour les rA(c)pondants de la classe aristocratique (30%) et les tabous pour les rA(c)pondants de la classe moyenne et la basse classe. La fraA(R)cheur, l'A(c)tat sanitaire et la couleur du fruit ou des feuilles sont les critA]res influenAant la dA(c)cision d'achat des lA(c)gumes. Le consentement A payer les lA(c)gumes traditionnels transformA(c)s A(c)tait plus A(c)levA(c) chez les rA(c)pondants de la classe aristocratique (56,9%) que ceux de la basse classe (37,1%) et la classe moyenne (45,8%). L'A(c)tude a rA(c)vA(c)lA(c) un besoin de promouvoir la consommation et les avantages nutritionnels des lA(c)gumes.
Les facteurs qui affectent la consommation des légumes dans la ville de Yaoundé au Cameroun, ont été évalués dans une enquête de 300 ménages. En moyenne, les légumes sont consommés 2 à 4 fois par semaine. La tomate, loignon, la carotte, et le poivron étaient les légumes exotiques les plus appréciés tandis que le vernonia ou Ndolè (< 80%) et le gombo (< 70%) étaient les légumes traditionnels les plus prisés. Les attitudes des consommateurs changeaient selon les groupes socioculturels et les groupes socioéconomiques. Les contraintes principales à la consommation des légumes étaient dans une moindre mesure le temps de préparation pour les répondants de la classe aristocratique (30%) et les tabous pour les répondants de la classe moyenne et la basse classe. La fraîcheur, létat sanitaire et la couleur du fruit ou des feuilles sont les critères influençant la décision dachat des légumes. Le consentement à payer les légumes traditionnels transformés était plus élevé chez les répondants de la classe aristocratique (56,9%) que ceux de la basse classe (37,1%) et la classe moyenne (45,8%). Létude a révélé un besoin de promouvoir la consommation et les avantages nutritionnels des légumes.