ISBN-13: 9786131567285 / Francuski / Miękka / 2018 / 200 str.
Cette A(c)tude, relative A l''interaction entre les dA(c)penses publiques et la croissance A(c)conomique, obA(c)it au souci d''expliquer un constat dans les pays de l''UEMOA. En effet dans les derniA]res dA(c)cennies, alors que la courbe d''A(c)volution des dA(c)penses courantes prA(c)sentait une allure constante, le taux de croissance A(c)conomique n''a cessA(c) de baisser. Au regard des statistiques individuelles des Etats membres de l''Union, il importe de noter que le bilan reste mitigA(c). Ce constat est le mAame lorsque l''on parcourt la littA(c)rature A(c)conomique. Les auteurs tels que Sahn et Younger (2002), Berg et al (2002) ou encore Rosner (2003) soutiennent clairement que les dA(c)penses publiques expliquent la croissance A(c)conomique. Par ailleurs, d''autres A(c)conomistes, A l''image de Dhanasekaran (2001), Ott (2002) et Button et al (2003) concluent dans leurs travaux que les dA(c)penses publiques ne contribuent pas A une amA(c)lioration du taux de croissance dans les pays en dA(c)veloppement. L''on comprend dA]s-lors qu''il apparaA(R)t nA(c)cessaire de faire la lumiA]re sur la relation entre les dA(c)penses publiques et la croissance pour le cas spA(c)cifique des pays de l''UEMOA.
Cette étude, relative à linteraction entre les dépenses publiques et la croissance économique, obéit au souci dexpliquer un constat dans les pays de lUEMOA. En effet dans les dernières décennies, alors que la courbe dévolution des dépenses courantes présentait une allure constante, le taux de croissance économique na cessé de baisser. Au regard des statistiques individuelles des Etats membres de lUnion, il importe de noter que le bilan reste mitigé. Ce constat est le même lorsque lon parcourt la littérature économique. Les auteurs tels que Sahn et Younger (2002), Berg et al (2002) ou encore Rosner (2003) soutiennent clairement que les dépenses publiques expliquent la croissance économique. Par ailleurs, dautres économistes, à limage de Dhanasekaran (2001), Ott (2002) et Button et al (2003) concluent dans leurs travaux que les dépenses publiques ne contribuent pas à une amélioration du taux de croissance dans les pays en développement. Lon comprend dès-lors quil apparaît nécessaire de faire la lumière sur la relation entre les dépenses publiques et la croissance pour le cas spécifique des pays de lUEMOA.