ISBN-13: 9783838170923 / Francuski / Miękka / 2018 / 124 str.
Le phA(c)nomA]ne d'A(R)lots de chaleur est principalement engendrA(c) par l'augmentation de l'urbanisation. DA(c)finis comme un milieu urbain dont les tempA(c)ratures en pA(c)riode estivale sont de 5 A 10AC plus A(c)levA(c)es que le milieu rural qui l'entoure, les A(R)lots de chaleur urbains ont des consA(c)quences sur la qualitA(c) de l'air, la santA(c) et le bien-Aatre des populations. Certaines interventions visent A remA(c)dier au problA]me. Elles peuvent Aatre rA(c)alisA(c)es d'une part sur les infrastructures et sur le milieu bA ti (utilisation de matA(c)riaux A haut pouvoir rA(c)flexif, implantation d'espaces verts, etc.) et, d'autre part, sur les activitA(c)s anthropiques. En tant que systA]me, les zones urbaines affectA(c)es par les A(R)lots de chaleur ont toutes les caractA(c)ristiques pour autoalimenter le phA(c)nomA]ne. Cependant, la complexitA(c) des interactions entre les causes ne permet pas de quantifier l'apport spA(c)cifique de chacune d'entre elles sur son intensitA(c). Sur la base de cette problA(c)matique, une nouvelle approche se basant sur les bilans A(c)nergA(c)tiques a A(c)tA(c) dA(c)veloppA(c)e. Elle permet d'A(c)tablir la diffA(c)rence entre le dA(c)ficit et le surplus d'A(c)nergie dans le systA]me considA(c)rA(c).
Le phénomène dîlots de chaleur est principalement engendré par laugmentation de lurbanisation. Définis comme un milieu urbain dont les températures en période estivale sont de 5 à 10°C plus élevées que le milieu rural qui lentoure, les îlots de chaleur urbains ont des conséquences sur la qualité de lair, la santé et le bien-être des populations. Certaines interventions visent à remédier au problème. Elles peuvent être réalisées dune part sur les infrastructures et sur le milieu bâti (utilisation de matériaux à haut pouvoir réflexif, implantation despaces verts, etc.) et, dautre part, sur les activités anthropiques. En tant que système, les zones urbaines affectées par les îlots de chaleur ont toutes les caractéristiques pour autoalimenter le phénomène. Cependant, la complexité des interactions entre les causes ne permet pas de quantifier lapport spécifique de chacune dentre elles sur son intensité. Sur la base de cette problématique, une nouvelle approche se basant sur les bilans énergétiques a été développée. Elle permet détablir la différence entre le déficit et le surplus dénergie dans le système considéré.