Dans l'action directe pour inconstitutionnalité par omission (ADO) n° 26/DF, le Tribunal fédéral (STF) a reconnu le retard législatif dans la mise en oeuvre des mandats visant à criminaliser l'homotransphobie. À cette occasion, le STF a développé un concept de racisme qui inclut les préjugés et la discrimination fondés sur le genre, l'orientation sexuelle, le sexe, etc. En fait, la Cour a décidé que la loi 7.716/1989 s'appliquerait jusqu'à l'avènement d'un acte normatif spécifique. Toutefois, cette loi a été modifiée par la loi n° 14.532/2023, qui sépare les injures...
Dans l'action directe pour inconstitutionnalité par omission (ADO) n° 26/DF, le Tribunal fédéral (STF) a reconnu le retard législatif dans la mis...
In der Direkten Aktion für Verfassungswidrigkeit durch Unterlassung (ADO) Nr. 26/DF erkannte das Bundesgericht (STF) die gesetzgeberische Verzögerung bei der Umsetzung der Mandate zur Kriminalisierung von Homotransphobie an. Bei dieser Gelegenheit entwickelte der STF einen Begriff von Rassismus, der Vorurteile und Diskriminierung aufgrund des Geschlechts, der sexuellen Ausrichtung, des Geschlechts usw. einschließt. Der Gerichtshof entschied, dass das Gesetz 7.716/1989 bis zum Erlass eines spezifischen normativen Akts gilt. Dies wurde jedoch durch das Gesetz Nr. 14.532/2023 geändert, um...
In der Direkten Aktion für Verfassungswidrigkeit durch Unterlassung (ADO) Nr. 26/DF erkannte das Bundesgericht (STF) die gesetzgeberische Verzögerun...