Aux premieres pages, nous sommes au printemps de 1914, a la veille de la Grande Guerre. Jacques Bainville scrutant l'horizon, y voit poindre la grande collision. Des ces premieres pages, en effet, on remarque les impatiences, l'irritation meme de Bainville devant les hesitations, la longanimite des Partenaires liberaux, trop liberaux, de l'Entente cordiale. Pour lui, l'Angleterre et la France sont, de moins en moins, des Etats dignes de ce nom. Etaient-elles, apres tout, autre chose que deux vastes bureaucraties alourdies sans relache par la manie legiferante de deux assemblees jumelles "
Aux premieres pages, nous sommes au printemps de 1914, a la veille de la Grande Guerre. Jacques Bainville scrutant l'horizon, y voit poindre la grande...