Les souvenirs ecrits dans le courant d'avril 1978, par un simple soldat se nommant LORION Henri demontrent encore une fois que la memoire de cette grande guerre a marque a jamais les generations. Ses memoires nous sont presentees sous un autre angle comme une auto-psychanalyse. Mon arriere grand-pere a combattu durant la bataille de l'Artois, puis comme de nombreux poilus, il s'est retrouve sur ce champ ou la mort est seule maitresse du terrain: VERDUN, sur l'ouvrage de Thiaumont, plus particulierement l'abri 119."
Les souvenirs ecrits dans le courant d'avril 1978, par un simple soldat se nommant LORION Henri demontrent encore une fois que la memoire de cette gra...