ISBN-13: 9783659558115 / Francuski / Miękka / 2016 / 148 str.
En dynamique spatiale, les bilans d'erreur entre donnA(c)es et modA]les utilisA(c)s sont trA]s faibles, de l'ordre de 1 cm en terme gA(c)omA(c)trique, soit une part par milliard (1ppb, en anglais) en relatif A l'A(c)chelle du globe. Les trajectoires des satellites gA(c)odA(c)siques LAGEOS, des satellites altimA(c)triques dont Jason, et des satellites GNSS, notamment, sont dA(c)terminA(c)es A peu prA]s A ce niveau de prA(c)cision. D'un autre cAtA(c), les produits de la gA(c)odA(c)sie moderne comme le repA]re de reference terrestre international, les paramA]tres de la rotation/orientation de la Terre, et le gA(c)oide sont globalement de qualitA(c) sub-centimA(c)trique mais il existe de fortes inhomogA(c)nA(c)itA(c)s spatio-temporelles. L'orbitographie des satellites prA(c)sentes encore des problA]mes d'exactitude; le spectre des erreurs est essentiellement A la pA(c)riode de rA(c)volution, A la pA(c)riode du jour et aux pA(c)riodes annuelles et semiannuelles. Notre travail a pour but, en sA(c)parant les causes des effets, de montrer comment les erreurs d'orbite se propagent d'abord dans la trajectoire, puis dans des produits globaux comme le repA]re de rA(c)fA(c)rence (via les mesures de poursuite de satellites) et la surface topographique (via les mesures altimA(c)triques).
En dynamique spatiale, les bilans d'erreur entre données et modèles utilisés sont très faibles, de l'ordre de 1 cm en terme géométrique, soit une part par milliard (1ppb, en anglais) en relatif à l'échelle du globe. Les trajectoires des satellites géodésiques LAGEOS, des satellites altimétriques dont Jason, et des satellites GNSS, notamment, sont déterminées à peu près à ce niveau de précision. D'un autre côté, les produits de la géodésie moderne comme le repère de reference terrestre international, les paramètres de la rotation/orientation de la Terre, et le géoide sont globalement de qualité sub-centimétrique mais il existe de fortes inhomogénéités spatio-temporelles. L'orbitographie des satellites présentes encore des problèmes d'exactitude; le spectre des erreurs est essentiellement à la période de révolution, à la période du jour et aux périodes annuelles et semiannuelles. Notre travail a pour but, en séparant les causes des effets, de montrer comment les erreurs d'orbite se propagent d'abord dans la trajectoire, puis dans des produits globaux comme le repère de référence (via les mesures de poursuite de satellites) et la surface topographique (via les mesures altimétriques).