Michel Cornillon, enté tardivement dans l'action politique, a d'abord milité dans divers partis de gauche. Mais aucun ne l'ayant satisfait, il a commencé à s'intéresser à différents mouvements citoyens et associatifs. Il avait commencé la rédaction d'un essai politique et philosophique censé prolonger son ouvrage précédent (Capitalisme, la chute et ensuite, lorsque l'apparition des Gilets Jaunes est venue lui offrir de nouvelles lumières.