I O ne blaspheme pas, poete, et souviens-toi. Certes la femme est bien, elle vaut qu'on la baise, Son cul lui fait honneur, encor qu'un brin obese Et je l'ai savoure maintes fois, quant a moi. Ce cul (et les tetons) quel nid a nos caresses Je l'embrasse a genoux et leche son pertuis Tandis que mes doigts vont, fouillant dans l'autre puits Et les beaux seins, combien cochonnes leurs paresses Et puis, il sert, ce cul, encor, surtout au lit Comme adjuvant aux fins de coussins, de sous-ventre, De ressort a boudin du vrai ventre pour qu'entre Plus avant l'homme dans la femme qu'il elit,
I O ne blaspheme pas, poete, et souviens-toi. Certes la femme est bien, elle vaut qu'on la baise, Son cul lui fait honneur, encor qu'un brin obese Et ...